Les jeunes se classent en quatre catégories : Benjamins de 6 à 11 ans nés de 1999 à 2010,
Minimes de 12 à 13 ans nés en 1997 et 1998,
Cadets nés en 1995 et 1996,
Juniors nés en 1993 et 1994.
Pourquoi un jeune pratiquerait la pétanque ?Sur le plan social, la pratique de la pétanque participe à l’apprentissage de la vie de groupe et la solidarité, l’apprentissage de la citoyenneté. De plus, lorsqu’il est une transmission familiale cela permet un partage magnifique, à condition que les adultes prennent garde à l’âge de l’enfant et à l’encourager (j’ai déjà vu un grand-parent foudroyer du regard un petit de six ans parce qu’il avait raté une boule sur sept, je trouve cette attitude très loin de la pétanque
qui doit être un plaisir et très loin de la générosité et la bienveillance que nous devons à nos enfants. A la pétanque, grands et petits ont droit à l’erreur
).
A l’ère des jeux virtuels, il est rassurant de voir autant de jeunes pratiquer la pétanque, car là est la vie réelle.
Au niveau affectif, elle amène à l’amitié, la solidarité, la combativité et au désir de réussite. Au niveau familial, lorsqu’il y a soutien et valorisation du ou des jeunes joueurs, c’est un plus pour le développement de l’estime de soi dont chacun a besoin dans sa construction personnelle. La pétanque doit permettre de sortir des zones de bouderie lorsqu’il y a mauvaise mène, de ne pas entrer dans les zones de dévalorisation personnelle « je suis trop nul, je n’arrive à rien », afin d’arriver à une humeur égale et humble permettant un développement personnel et positif du jeune (respect de l'autre, fair play, applaudissement d’un magnifique point de l’équipe adverse…)
Sur le plan moteur, elle apporte la manière d’utiliser sa force, développe la souplesse, favorise la coordination, l’équilibre et l’adresse, l’endurance.
Sur le plan psychique, elle permet de développement de la concentration, de la maîtrise de soi, de la motivation, de la réflexion et du sens tactique, ainsi que de l’observation (des autres joueurs et de leur tactique, du terrain…) la mémorisation et le sens de l’anticipation.
Woilà
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