Demande à Markomillions

Bonjour,
Auriez-vous des calculs mathématiques pour illustrer qu'un joueur de grande taille a statistiquement plus de chance de râter ou réussir tel ou tel tir ?
Par exemple j'ai également été étonnée ce week-end de voir une femme mesurant environ un mètre soixante-cinq, à croupi pour pointer alors que le terrain montait.

soleillevant a écrit:

Bonjour,
Auriez-vous des calculs mathématiques pour illustrer qu'un joueur de grande taille a statistiquement plus de chance de râter ou réussir tel ou tel tir ?

Bonjour soleil,

Des calculs mathématiques? Pas moi, et je ne crois pas qu'il soit réducible aux formules. Moi-même, je souffre de la maladie de Parkinson et mon equilibre est tellement abimé que je dois faire tous mes jets--points comme tirs (mes essais, soyons claires--les succe`s sont assez épars)--debout. Donc, je suis avec attention les joueurs qui pointe debout (et donc, de plus grande "taille" dans l'exercise): Christian Fassino, Kévin Malbec, Elbey Nabil, même Dylan Rocher quand il doit pointer. Tous sont bien capable des points extraordinaires--mais pas plus ou moins capable que les pointeurs accroupi(e)s. Mais peut-être le fait que le nombre des pointeurs-accroupi(e)s est beaucoup plus grand que le nombre des pointeurs-debout signifie en soi que'il y a une plus grande difficulté pour les joueurs de grande taille.

Qu'en penses-tu?

Je pense avoir développer ici ou sur mon site le rapport accroupi/debout au point (par exemple) en expliquant bien l'importance que offre l'un et l'autre!
Pour résumer, pointer assis "limite" naturellement l'extension/amplitude aérienne lors du laché pour éviter de jouer trop loin/trop fort. Au contraire, si le jeu assis est idéal sur les petites et moyennes distances, il s'avère inadapté voir handicapant au delà de 10 mètres! Tout joueur se sentant obliger de forcer (notion de jouer en "bout de bras" peine geste "essoufflé").

Pour répondre à la question, est ce que la morphologie a une incidence sur la performance en soi?
Oui, carrément! Il y a tout un ensemble d'exemples pour venir approuver cette théorie. Voici l'exemple le plus flagrant avec le joueur (qu'on désignera) de grande taille, peinera à courte distance, se devant de baisser son axe de visée naturelle* (soit par le fléchissement de ses genoux, un effort à devoir casser son poignet davantage soit par un "jeté" en dessous de sa ligne d'horizon).
*comprise entre 7 et 10 mètres.
En parallèle, un joueur assez petit sera à l'aise sur courte distance et peinera plus sur longue distance (se devant soit de forcer, du moins d'allonger plus).

Merci à tous les deux, j'ai ma réponse